Être maman, c’est déjà un marathon. Être maman solo ? C’est le marathon, l’épreuve de natation, l'escalade du Kilimandjaro et l’épreuve de patience d’un moine tibétain… le tout sans pause pipi.
1. La charge mentale, ce Tetris infernal
Toi, tu vois un frigo. Elle, elle voit : "Faut que je rachète du lait, que je planifie les repas de la semaine, que je fasse un gâteau pour l’école, que je pense à la réunion Zoom demain, que je répare le bouton du manteau du petit…"Spoiler : elle y pense aussi à 3h du matin.
2. Le seul moment calme ? Quand les enfants respirent pendant qu’ils dorment
Mais même là, elle ne dort pas. Elle hésite entre :
Faire enfin la vaisselle.
Regarder une série (qu’elle finira en 2031).
Pleurer un peu (optionnel, mais fréquent).
Se demander si elle est une bonne mère, tout en grignotant des chips en cachette.
3. Le syndrome de la pieuvre
Une maman solo, c’est une créature légendaire avec 8 bras invisibles. Elle fait les devoirs, répond à un mail pro, cuisine des coquillettes, décroche un appel de l'école, et sourit (presque) en même temps.
Bonus : elle est aussi comptable, psy, infirmière, mécanicienne, organisatrice d’anniversaires et chasseuse de monstres sous le lit.
4. L’isolement social (ou “ma seule conversation adulte de la semaine était avec la caissière”)
Quand tu réalises que ton seul "temps libre", c’est au supermarché. Et que le seul moment de paix, c’est quand tu restes 10 minutes de plus aux toilettes parce que t’as fermé la porte à clé.
5. La culpabilité version deluxe
Tu cries ? Tu culpabilises.Tu donnes des nuggets trois soirs d’affilée ? Tu culpabilises.Tu rêves de t’enfuir à Bali sans enfant ? Bienvenue dans le club.
Conclusion ?
Être maman, c’est magique (mais on aimerait bien avoir une baguette, Harry Potter style, de temps en temps). Et être maman solo, c’est héroïque. Alors si tu te reconnais là-dedans, sache que :
Tu n’es pas seule.
Tu fais déjà de ton mieux (et c’est énorme).
Et surtout : t’as le droit d’être fatiguée, et de râler, et de ne pas être parfaite.